Les contradictions des hadiths

Modifiée le 28 nov. 2014 par Administrator — Catégorisé en: Corruptions


1. Aucune âme ne sera créditée des actions d'une autre

Ce qu'affirme le Coran :

Dieu affirme qu'aucune âme ne sera tenue responsable pour les péchés d'une autre, et aussi qu'aucune âme ne sera créditée des actions d'une autre. En d'autres termes, chaque âme ne sera tenue responsable que de ce qu'elle aura fait.

et que l'Homme n'obtient que le fruit de ses efforts,
Coran, 53:39

... Chacun n'acquiert que ce qui lui revient, et personne ne porte le fardeau d'un autre. ...
Coran, 6:164

Hadiths attribués au Prophète :

En dépit de ces affirmations claires de la part de Dieu, il existe des hadiths qui citent le prophète déclarant que l'on peut observer le Hajj au nom d'autres personnes (qu'ils soient vivants ou morts) ! Et que l'on peut donner la zakât ou même jeûner en leur nom ! En d'autres termes, ces hadiths annulent tout le contenu des versets 53:39 et 6:164, et déclarent que, malgré ce que disent ces versets coraniques, l'on peut quand même bénéficier et être crédité au Jour du Jugement des œuvres d'autres personnes !

Rapporté par 'Abdullah ibn Abbas : "Al-Fadl (son frère) se trouvait derrière le messager de Dieu et une femme de la tribu de Khath’am est venue et Al-Fadl la regardait et elle le regardait. Le Prophète a détourné le visage d’Al-Fadl sur l’autre coté. La femme a dit, "O messager de Dieu ! L’obligation du Hajj prescrit par Dieu sur Ses serviteurs s’applique à mon père (mais) il est vieux et est faible et il ne peut pas se tenir sur le Mont ; puis-je accomplir le Hajj EN SON NOM ?" Le Prophète a répondu, "Oui, vous pouvez." C’est arrivé pendant le Hajj-al-Wada'." (Bukhari, Volume 2, livre 26, numéro 589, et aussi Bukhari, Volume 8, Numéro 247)

D’après Ibn Abbas : Une femme de la tribu de Juhaina est venue chez le Prophète et a dit, "Ma mère avait juré d’accomplir le Hajj mais elle est morte avant de l’exécuter. Puis-je accomplir le Hajj AU NOM DE MA MÈRE ?" Le Prophète a répondu, "Accomplissez le Hajj EN SON NOM. S’il y avait eu une dette sur votre mère, vous l’auriez payé, non ? Donc payez la dette de Dieu comme Il est Celui qui a le plus de droit à être payé." (Bukhari, Volume 3, Livre 29, Numéro 77)


Ici, la question évidente est : est-ce que le prophète de Dieu enseigne ce qui est en violation du message du Coran ? Dieu aurait-il présenté une règle dans le Coran seulement pour être contredite par Son fidèle prophète ?



2. Dieu est le seul juge

Ce qu'affirme le Coran :

Dès la première sourate du Coran (la Fatiha), nous lisons que certains droits sont exclusifs à Dieu. L'un d'eux est que Dieu sera le seul Juge le Jour du Jugement :

Possesseur du Jour du Jugement.
Coran, 1:4

également :

La souveraineté ce jour-là appartiendra à Dieu, qui jugera entre eux. ...
Coran, 22:56

Un jour où aucune âme ne pourra rien pour une autre âme. En ce jour, le commandement est à Dieu.
Coran, 82:19

Hadith attribué au Prophète :

D’après Abû Sa’îd Al-Khudrî le Prophète de Dieu a dit :
Parmi les peuples qui vivaient avant vous, il y avait un homme qui avait tué quatre-vingt dix-neuf personnes. Il demanda après l’homme le plus savant sur terre. On lui désigna un moine. Il alla le trouver et lui dit qu’il avait tué quatre-vingt dix-neuf personnes ; Il lui demanda s’il lui restait une possibilité de se repentir. Le moine dit aussitôt : "Non". Alors la personne le tua sur le coup et compléta ainsi le nombre des ses victimes à cent. Puis, il demanda de nouveau après le plus grand savant de la terre. On lui désigna une personne. Il alla la trouver et lui dit qu’il avait tué cent personnes ; il lui demanda s’il lui restait quelque possibilité de se repentir. Il lui dit : "Oui et qu’est ce qui fait obstacle entre toi et le repentir ? Va dans tel pays, là-bas vivent des gens qui ne font qu’adorer Dieu exalté. Adore donc Dieu avec eux et ne retourne jamais dans ton pays car c’est une terre de mal." Il se mit en route, et arrivé à mi-chemin, il fut atteint par la mort.
Les Anges de la miséricorde et les Anges des tourments se disputèrent à son sujet. Les Anges de la miséricorde dirent : "Il est venu se repentir désirant de tout son cœur retourner vers Dieu". Et les Anges des tourments dirent : "Il n’a jamais fait de bien toute sa vie durant."
C’est alors qu’un Ange sous l’apparence humaine vint à eux. Ils le prirent pour juge. Il leur dit : "Mesurez la distance qui le sépare de chacune des deux terres. Destinez-le ensuite à celle dont il est le plus proche." Ils mesurèrent et trouvèrent qu’il était près de la terre qu’il voulait rejoindre, alors ce furent les Anges de la miséricorde qui lui retirèrent son âme. (Bukhari n°3470, aussi : Bukhari, Volume 4, Livre 56, n°676, et Muslim)


Dans ce hadith ridicule, non seulement nous lisons que les anges exercent l'un des droits exclusifs de Dieu (le jugement), en s'occupant de juger un homme après sa mort, mais aussi que les anges se querellent entre eux pour décider de son sort !!!!

Tout d'abord, ce hadith contredit le fait que Dieu est le seul juge, car dans cette histoire les anges jugent cet homme et se querellent entre eux à ce sujet ! Notons également que ce hadith se termine en disant que le sort de l'homme fut finalement décidé par le biais de la méthode la plus ridicule qui soit : la distance de son corps par rapport à deux pays ! Évidemment, l'emplacement de la mort de quelqu'un n'a rien à voir avec le fait qu'il était un bon croyant ou non, et n'indique pas s'il a mené une vie juste ou non ! Le Coran dit à plusieurs reprises que croire en Dieu et mener une vie juste sont les critères décisifs pour le jugement d'un homme au Jour du Jugement, et non pas la distance de son corps par rapport à deux pays !

Il est vrai que la Miséricorde de Dieu est infinie, et qu'il peut pardonner à qui Il veut, mais Dieu jugera également cet homme qui a commis des assassinats conformément à sa croyance et à ses actions, et non en mesurant la distance entre le corps mort et deux pays !! Ce conte de fées inventé a des relents d'une mentalité médiévale et naïve, et est une insulte grossière envers Dieu, Lui qui est le meilleur Juge, et une insulte envers le Prophète auquel ce hadith est attribué.



3. Dieu est l'Unique Législateur

Ce qu'affirme le Coran :

Dieu est le seul Législateur :

Chercherai-je un autre juge que Dieu, alors que c'est Lui qui a fait descendre vers vous le Livre détaillé ? ...
Coran, 6:114

On nous dit aussi que le seul devoir de tout messager est de délivrer le message de Dieu :

Il n'incombe au messager que la transmission....
Coran, 5:99

En confirmation de ce message clair, nous trouvons une occasion où le Prophète avait interdit quelque chose que Dieu a rendu licite, et Dieu l'a alors réprimandé :

Ô prophète, pourquoi interdis-tu ce que Dieu t'a rendu licite, pour rechercher la satisfaction de tes épouses ? Dieu est Pardonneur, Miséricordieux.
Coran, 66:1

Hadiths attribués au Prophète :

En dépit de toutes ces preuves montrant que Dieu est le SEUL Législateur, nous trouvons de nombreux hadiths qui prétendent que le Prophète a interdit telle ou telle chose (par exemple l'or et la soie, que Dieu a rendu licite, mais qui sont interdits pour les hommes dans les hadiths !!!).

Dans Bukhari et Muslim, nous lisons que le Prophète aurait interdit la soie :

'Umar b. al-Khattâb rapporte ces paroles de l'Envoyé de Dieu : "Ne revêtez pas d'habits de soie, car quiconque porte de la soie en ce monde, ne s'en revêtira pas dans l'Au-delà."

La chose étonnante est que, dans un autre hadith, nous trouvons une contradiction totale avec le hadith interdisant la soie :

"Le halal est ce que Dieu a rendu licite dans Son Livre, et le haram est ce qu'Il a interdit, et ce à propos de quoi Il est silencieux vous a été permis comme une faveur envers vous" - Rapporté dans Al-Hakim, classé comme sahih, et cité par al-Bazzar (Tirmidhi, Ibn Majah).

("Le licite et l'illicite en Islam" (Arabe : Al halal wal haram fil Islam) par Yusuf Al Qaradawi).

Si nous suivons la logique du hadith ci-dessus, nous devons reconnaître que, puisque la soie n'est pas interdite dans le Coran, elle est donc licite pour les hommes... alors pourquoi le prophète interdit aux hommes d'en porter ? La réponse est simple, le Prophète n'a jamais interdit la soie (ni quoi que ce soit qui n'est pas interdit par Dieu). La seule fois où le Prophète fit une erreur en interdisant quelque chose qui n'a pas été interdit par Dieu, il fut réprimandé par Dieu (66:1).



4. Les moments des prières

Ce qu'affirme le Coran :

Dieu affirme dans le Coran que la Salât (prière) prescrite doit être observée à des moments précis :

...La Salât est pour les croyants une prescription à des moments déterminés.
Coran, 4:103

Hadiths attribués au Prophète :

En dépit de cette loi divine claire, nous lisons de nombreux hadiths qui permettent aux croyants d'observer la Salât après que sa période soit passée. Cela est appelé "Salât Qada". En conséquence de cette concession non-coranique, le diable a trompé des millions de personnes à ignorer le verset 4:103, et à leur faire observer illégalement toutes leurs prières manquées, collectivement le soir, quand aucun travail ou loisir ne les empêche de prier...

Ce faisant, ces personnes ratent l'enjeu primordial lié à l'observation de la Salât à des moments précis :

des hommes que ni le commerce, ni le troc ne distraient du rappel de Dieu, de l'accomplissement de la Salât et de l'acquittement de la Zakât...
Coran, 24:37

Ces mots soulignent clairement pourquoi nous devons observer la Salât à des moments précis, et ne pas laisser un travail, un commerce ou des loisirs nous distraire de le faire. Évidemment, si nous ignorons les moments précis fixés par Dieu pour la salât, quand nous sommes occupés à notre travail ou par des loisirs, nous aurons totalement ignoré le verset 24:37.

Néanmoins, il y aura toujours un hadith corrompu pour violer un commandement coranique spécifique, et en ce qui concerne l'ordre de 4:103, nous trouvons un certain nombre de hadiths fabriqués qui disent à tort que le Prophète a observé la prière en dehors des délais prescrits :

Anas ibn Malik : "Quand il voyageait et qu'il se remettait en selle avant que le soleil ait décliné, le Prophète retardait l'accomplissement de adh-dhohr jusqu'à l'heure de al-'asr, puis il descendait (de sa monture) et les accomplissait tous les deux ensemble. Et si le soleil avait décliné avant qu'il se remette en selle, il accomplissait adh-dhohr puis se remettait en selle" (Bukhârî 1060, Muslim 704)

Ibn Mas'ûd déclare : "Je n'ai jamais vu le Prophète accomplir une prière hors de l'horaire celle-ci, sauf à Muzdalifa : il y a accompli ensemble al-maghrib et al-'ishâ ; le lendemain, il y a accompli as-subh avant son horaire" (Bukhârî 1598, Muslim 1289).

Mu'âdh raconte : "Nous étions en compagnie du Prophète lors de la campagne de Tabûk. Il accomplissait adh-dhohr et al-'asr ensemble, et al-maghrib et al-'ishâ ensemble" (Muslim 706)

Ibn Abbâs raconte : "Le Prophète a, à Médine, alors qu'il n'était pas en voyage et n'était pas (non plus) dans une situation de crainte, accompli ensemble adh-dhohr et al-'asr" (Muslim 705)


Est-il possible que le Prophète ait modifié la loi de Dieu du verset 4:103 et observé des prières en dehors de leur temps ?



5. L'interdiction de prier à certains moments

Ce qu'affirme le Coran :

Le Coran décrète trois Salâts par jour, et les nomme : Fajr (aube), Wusta (médiane) et `Isha (crépuscule). Ces trois Salâts sont prescrites à des moments précis. Le seul moment où il est interdit à un croyant de prier est s'il se trouve en état d'ébriété :

Ô vous qui avez cru, n'approchez pas de la Salât alors que vous êtes ivres jusqu'à ce que vous sachiez ce que vous dites, ...
Coran, 4:43

Il n'y a pas d'interdictions liées au temps dans le Coran concernant la Salât. La Salât est le contact du croyant avec Dieu Tout-Puissant, Il ne va donc pas interdire ce contact pour un croyant. Dieu n'est pas un employeur qui ne peut être contacté que pendant les heures de bureau !

Hadiths attribués au Prophète :

Al-Boukhari et Muslim ont rapporté (respectivement sous les numéros 548 et 1371) qu’Ibn Omar a dit : "Le Messager de Dieu a dit : «Retardez la prière dès que le soleil commence à se manifester jusqu’à ce qu’il s’élève. Dès qu’il commence à disparaître, reportez la prière jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement »."

Amr Ibn Abassa a dit : "Ô Prophète ! Informes-moi sur la prière ?" Le Prophète lui a dit : " Prie la prière du Sobh puis cesse de prier jusqu'à ce que le soleil se lève complètement. Car le soleil se lève entre les cornes du diable : C'est alors à ce moment que se prosternent les mécréants. Lorsque le soleil se lève complètement prie car la prière est assistée et attestée. Lorsqu'il est au zénith cesse de prier car c'est le moment où "Djahanem" (l'enfer) est chauffée. Dès-qu'il décline prie car prière est assistée et attestée. Après la prière du `Asr cesse de prier jusqu'au coucher du soleil. Car il se couche entre les cornes du diable : C'est alors à ce moment que se prosternent les mécréants." (Ahmed et Muslim)

Voilà des hadiths inventés qui interdisent ce que Dieu et Son messager n'ont jamais interdit....



6. Les vêtements imposés du hajj

Ce qu'affirme le Coran :

Lorsque nous lisons le Coran, nous nous rendons compte qu'aucun code vestimentaire n'est jamais requis pour accomplir un rituel ou n'importe quelle forme d'adoration. Au lieu de cela, Dieu Tout-Puissant insiste sur le fait qu'Il jugera les gens selon ce qui est dans leur cœur et non selon leur apparence :

mais seulement de venir à Dieu avec un cœur sain".
Coran, 26:89

Le meilleur vêtement étant celui de la piété :

Ô enfants d'Adam, Nous avons fait descendre sur vous des vêtements pour cacher votre nudité, ainsi que des parures. Mais le vêtement de la prémunition, voilà qui est meilleur. Voilà un des signes de Dieu, afin qu'ils se rappellent.
Coran, 7:26

Il faut aussi ajouter que Dieu nous invite à avoir la meilleure apparence à chaque fois que nous nous rendons dans une mosquée :

Ô enfants d'Adam, portez votre parure ("zinatakum") dans chaque masjid. ...
Coran, 7:31

Puisque le verset ci-dessus parle de CHAQUE masjid sans aucune exception, cela comprend également la Masjid Al-Haram (la Kaaba). Nous devons donc bien nous habiller quand nous rendons visite à la Kaaba.

L'état d'Ihram (abstention) durant le Hajj est clairement défini dans le Coran. Il ne comprend pas l'interdiction de porter de beaux vêtements ; il n'y a donc aucune autorisation, n'importe où dans le Coran, pour obliger à porter un vêtement de pèlerinage spécial.

Hadiths attribués au Prophète :

Une des traditions du Hajj qui n'a aucun fondement coranique, mais qui ne peut se trouver que dans des hadiths, est le vêtement des hommes. Selon les hadiths, les hommes ne doivent porter que du tissu sans couture (comme des serviettes) autour de leur corps, avec l'une des épaules exposée. En outre, il est souligné que rien en métal ne doit être porté, au point où même une épingle pour attacher les serviettes ensemble n'est pas autorisée !

Il est évident que ces règles ne viennent pas du Coran, au contraire, elles contredisent la loi de Dieu qui invite les hommes et les femmes à porter leurs parures dans chaque masjid, y compris la Masjid Al-Haram.

Le prophète a été interrogé sur ce que devrait porter la personne en état de sacralisation - Il a dit : « Il ne doit porter ni tunique, ni pantalon, ni capuchon, ni bottines. » Mais il a fait une exception pour celui qui ne trouve pas de « izâr », qu’il porte un pantalon, et pour celui qui ne trouve pas de sandales, qu’il porte des bottines. (Bukhârî - n°5803)



7. Pierre noire "sainte" ou idolâtrie ?

Ce qu'affirme le Coran :

Ô vous qui avez cru, les boissons enivrantes, les jeux d'argent, les stèles et les flèches divinatoires ne sont qu'une souillure, l’œuvre du diable. Écartez-vous de lui, afin que vous réussissiez.
Coran, 5:90

Tout au long du Coran, Dieu ordonne aux croyants de rester loin des stèles, car ces pierres n'ont aucun pouvoir d'être bénéfique ou de nuire à une personne. L'histoire d'Abraham et des idoles de pierre de son peuple est un rappel clair de ce sujet. Cependant, lors de la visite de la Kaaba, et à l'un de ses coins, les Musulmans du monde entier poussent et se fraient un chemin férocement pour se rendre à ce qu'on appelle "la pierre noire", afin de la toucher et de l'embrasser. La chose extraordinaire à propos de cet événement, est que si vous leur demandez : pourquoi embrassez-vous la pierre ? Ils diront que c'est parce que le prophète l'embrassait ! Si vous demandez alors : pourquoi l'embrassait-il ? Vous ne recevrez aucune réponse rationnelle ! Mais comment pourrait-il y avoir une réponse rationnelle pour expliquer pourquoi un adepte du Coran devrait embrasser et chérir une pierre qui ne peut ni nuire ni être bénéfique pour un être humain ? Pensent-ils que cette pierre les bénira ? Plus important encore, est-ce qu'un prophète sincère pourrait montrer un total mépris envers les commandements de Dieu, et aller embrasser des pierres dans un acte flagrant d'idolâtrie ? La réponse évidente est NON.

Hadiths attribués au Prophète :

Sans surprise, ce rituel idolâtre n'a aucun fondement dans le Coran, mais provient plutôt d'un certain nombre de "hadiths" corrompus qui affirment que cette pierre est descendue du ciel à l'époque d'Abraham et qu'elle est donc sacrée ! Les hadiths déclarent en outre que le prophète avait l'habitude de l'embrasser !! Quand on lit ces hadiths et que l'on voit alors des millions de personnes qui y croient et qui commettent de tels actes graves d'idolâtrie, on ne peut s'empêcher de se demander, est-ce qu'elles n'ont pas lu le Coran ?!! Le Coran nous informe qu'Abraham détruisit toutes les pierres que son peuple adoraient, et qu'il dit :

Il dit : "Adorez-vous donc, en dehors de Dieu, ce qui ne vous est utile en rien, et qui ne vous nuit en rien ?
Coran, 21:66

Mais ceux qui embrassent et idolâtrent la pierre noire répliquent : Nous n'adorons pas la pierre noire, on ne l'embrasse que parce que le prophète l'embrassait, et donc elle doit être sainte/sacrée !

Mais cette réponse ne fait qu'exposer leur idolâtrie. Le fait qu'ils considèrent un morceau de pierre comme saint ou sacré est en soi un acte d'idolâtrie, si seulement ils savaient...

Ils préfèrent croire des hadiths douteux qui sont en totale violation du Coran, plutôt que de croire Dieu quand Il déclare qu'aucune pierre ne pourra jamais nuire ou être utile pour l'être humain...

Il est rapporté que `Omar se présenta à la Pierre et l’embrassa en disant : « Je sais que tu es une pierre et que tu ne peux ni apporter profit ni porter préjudice. Si je n’avais pas vu le Prophète t’embrasser, je ne l’aurais pas fait. » (Rapporté par Al-Bukhârî, 1520 et Muslim, 1720).

D’après Djâbir Ibn ’Abdallâh, quand le Messager de Dieu arriva à La Mecque, il se présenta à la Pierre et la toucha. Puis il passa à sa droite, pressa le pas pendant trois tours, puis marcha ordinairement quatre fois. (Rapporté par Muslim, 1218).




8. Des lois non autorisées par Dieu qui oppriment les femmes

Les femmes ne peuvent pas voyager sans un "mahram" :

Le mot arabe "mahram" désigne une personne avec qui il est interdit de se marier. Par exemple, pour un homme : sa mère, sa fille etc.... Et pour une femme, son père, son frère, son fils etc...

L'une des innovations qui découlent des hadiths, et qui n'a aucune autorisation dans le Coran, est liée au sujet du "mahram". A cause de cette innovation, en grande partie le produit de cultures archaïques dominées par les hommes, une femme se voit interdit de voyager pendant plus d'un jour, sauf si elle est accompagnée d'un "mahram". Cette innovation, qui est faussement attribuée à l'Islam, fut certainement fabriquée par l'homme arabe dans sa tentative de soumettre la femme à une subordination totale.

Hadiths attribués au Prophète :

D’après Abou Hourayra, le Prophète dit : "Il n’est pas permis à une femme qui croit en Dieu et au Jour Dernier de voyager la distance d’un jour et d’une nuit sans être accompagnée d’un Mahram" (Al-Boukhâri, chapitre du « Raccourcissement de la prière » (hadith 51088) et Muslim, chapitre du « Hajj » (hadith 1339))

"Abou Sa`îd Al-Khoudri rapporte que le Prophète a interdit qu’une femme voyage pour une distance de deux jours de marche sans qu’elle ne soit accompagnée de son époux ou d’un Mahram" (Al-Boukhâri, chapitre du « Hajj » (hadith 1864) et par Muslim, chapitre du « Hajj » (hadith 827))



9. Le prophète n'a eu aucun miracle

Ce qu'affirme le Coran :

Tout au long du Coran, il est précisé que le Prophète Mohammed n'a pas eu de miracles personnels comme ceux donnés à Moïse et à Jésus. Les versets suivants confirment cette vérité :

Ils disent : "Pourquoi un miracle de son Seigneur ne descend-il pas sur lui ?" Dis alors : "L'occulte n'appartient qu'à Dieu. Attendez donc, je serai avec vous parmi ceux qui attendent".
Coran, 10:20

Ceux qui ont dénié disent : "Pourquoi un miracle de son Seigneur n'est-il pas descendu sur lui ?" Tu n'es qu'un avertisseur, et à chaque peuple un guide.
Coran, 13:7

Ils dirent : "Pourquoi un miracle de son Seigneur n'est-il pas descendu sur lui ?" Dis : "Dieu a le pouvoir de faire descendre un miracle, mais la plupart d'entre eux ne savent pas".
Coran, 6:37

Hadiths attribués au Prophète :

Pourtant, nous lisons dans les hadiths de nombreux miracles attribués au prophète !

Anas Ibn Mâlik a dit : "Un jour, le Prophète ordonna de l'eau (pour faire les ablutions). On lui apporta alors un large vase (contenant un peu d'eau). Nous fîmes tous nos ablutions et nous étions de soixante à quatre-vingt-dix hommes. Je vis l'eau jaillir d'entre les doigts du Prophète". (Rapporté dans Sahih Muslim n°4224)

Jâbir ibn Abdillah rapporta : J'étais avec le prophète au moment de la prière du `Asr. Nous n'avions pas d'eau avec nous qu'un peu dans une tasse qui fut apportée au prophète. Il mit sa main dans la tasse, écarta ses doigts et dit : « Avancez ! Dépêchez-vous ceux qui veulent faire les ablutions. C'est la bénédiction de Dieu». Je vis l'eau jaillir entre ses doigts. Ainsi, les gens firent leurs ablutions et burent à leur soif, et j'essayai de boire plus (au-delà de ma soif et de ma capacité), car je sus que c'était une bénédiction. Le sous-narrateur dit : Je demandai à Jâbir : « Combien de personnes étiez-vous ? » Il répondit : « Nous étions mille quatre cents hommes ». (Rapporté dans Sahîh Al-Bukhârî, Vol.7, Hadîth N.543)


On trouve également des hadiths rapportant que le prophète aurait multiplié la nourriture, guéri l’œil de `Ali ou une jambe avec sa salive, qu'un loup, une brebis, et même des arbres et des pierres lui auraient parlé ! Quelle imagination... mais totalement contraire à ce qu'affirme le Coran !



10. Des interdits non coraniques

Ce qu'affirme le Coran :

Les interdits du Coran sont clairement décrits et non ambigus. Il est également précisé dans le Coran que le Prophète ne pouvait interdire que ce qui est interdit par Dieu dans le Coran, et rien d'autre :

Ô prophète, pourquoi interdis-tu ce que Dieu t'a rendu licite, pour rechercher la satisfaction de tes épouses ? Dieu est Pardonneur, Miséricordieux.
Coran, 66:1

Quand tu ne leur apportes aucun signe, ils disent : "Pourquoi n'en choisis-tu pas un ?" Dis : "Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé de mon Seigneur". Cela est une clairvoyance venant de votre Seigneur, une guidance et une miséricorde pour des gens qui croient.
Coran, 7:203

Hadiths attribués au Prophète :

Pourtant, en dépit de cette vérité coranique, on trouve une multitude de hadiths interdisant des choses qui n'ont pas été interdites par Dieu dans le Coran ; par exemple, les images ou le port de soie et d'or par les hommes :

Abd Allah ibn Massoud dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu dire : « Les producteurs d’images sont ceux qui subiront le plus dur châtiment auprès de Dieu au jour de la Résurrection ». (rapporté par Bukhari 5606 et Muslim, 2109).

Le prophète a dit : « les anges n'entrent pas dans une maison dans laquelle il y a une image ou un chien. » (rapporté par Bukhari et Muslim.)

Houdhayfa a dit: «Le prophète nous a interdit le port de la soie et du brocart ou de nous asseoir là-dessus.» (Bukhari n°5837)

D’après Abd Allah Ibn Omar , ce dernier vit à la porte de la mosquée un vêtement rayé et dit : ô Messager de Dieu, si tu achetais ce vêtement pour le porter le vendredi et lors de la réception des délégations qui viennent te rencontrer ? Le Messager de Dieu dit : « Seul peut porter ce vêtement celui qui n’aura aucune part du bonheur de l’au-delà... » Ensuite des vêtements identiques furent donnés au Messager de Dieu et il en offrit un à Omar Ibn al-Khattab. Celui-ci lui dit : « Tu m’en offres après avoir dit à propos du vêtement d’Outarid (c’est le nom du vendeur) ce que tu avais dit ? » Le messager de Dieu lui dit: « Je ne te l’offres pas pour que tu le portes toi-même . » Aussi Omar l’offrit -il à un de ses frères de La Mecque alors idolâtre. » (Bukhari n°837).


Non seulement ce hadith viole le verset 66:1, mais sa logique est on ne peut plus étrange. Selon ce hadith, il est dit que le Prophète aurait déclaré que celui qui porte de la soie n'aura aucune part du Paradis, mais pour une raison quelconque il aurait permis à Omar de vendre le manteau et de profiter de l'argent de la vente ! Ce n'est pas différent de permettre à quelqu'un de vendre de l'alcool et de bénéficier de l'argent de la vente !! Certes, si quelque chose est injuste, alors faire de l'argent en le vendant doit également être injuste.

Al-Barâ' Ibn 'Azib a dit :" L'Envoyé de Dieu nous a enjoint de faire sept choses et nous a interdits de faire sept autres. (...) Il nous a interdit de porter des bagues en or, de boire dans des vases en argent, de se servir des selles en soie, de se vêtir des étoffes dites "qassy" (une variété rayée de soie), de porter des vêtements de soie, de brocart et de satin". (Muslim n°3848)

Nous lisons dans ce hadith une liste d'interdictions, aucune d'entre elles n'ayant le moindre fondement coranique.



11. Seul Dieu connaît le futur (ghayb)

Ce qu'affirme le Coran :

Le Coran affirme catégoriquement que personne dans les cieux ou la terre ne connaît l'avenir, à part Dieu :

Dis : "Nul de ceux qui sont dans les cieux et la terre ne connaît le futur, à part Dieu". Ils n'ont pas conscience de quand ils ressusciteront.
Coran, 27:65

De plus, nous lisons dans le Coran que Dieu a ordonné au prophète Mohammed de proclamer qu'il ne connaît PAS l'avenir :

Dis : "Je ne vous dis pas qu'auprès de moi sont les trésors de Dieu, ni que je connais le futur, et je ne vous dis pas que je suis un ange. Je ne fais que suivre ce qui m'est révélé". Dis : "L'aveugle est-il égal à celui qui voit ? N'allez-vous pas réfléchir ?"
Coran, 6:50

Dis : "Je ne détiens pour moi-même ni utilité ni nuisance, sauf ce que Dieu veut. Et si je connaissais le futur, j'aurais accru mes richesses, et aucun mal ne m'aurait touché. Je ne suis qu'un avertisseur et un annonciateur pour les gens qui croient."
Coran, 7:188

Et je ne vous dis pas que les trésors de Dieu sont auprès de moi, ni que je connais le futur. Je ne dis pas que je suis un ange et je ne dis pas à ceux que vos yeux méprisent que Dieu ne leur accordera aucun bien - Dieu sait mieux ce qu'il y a en eux-mêmes - sinon je serai du nombre des injustes".
Coran, 11:31

Hadiths attribués au Prophète :

Malgré ces preuves coraniques, nous trouvons de nombreux hadiths où il est affirmé que Mohammed a prophétisé de nombreux événements à venir ! Lorsque le message du Coran, au sujet de cette question, est clairement opposé à celui des hadiths, il est impossible de croire aux deux ! Il est impossible que Dieu ordonne à Mohammed de dire une chose, puis que celui-ci dise le contraire ! Et puisqu'il n'y a pas l'ombre d'un doute que le prophète est un homme honorable qui était le serviteur obéissant de Dieu, alors la seule conclusion est que ces hadiths prophétiques sont tous des mensonges contre le prophète. Voici quelques-uns d'entre eux :

Le prophète a dit : «On a fait passer les nations devant moi : un prophète ou deux passaient accompagnés de quelques adeptes, un autre passait sans compagnon. Puis on m’a fait apercevoir une immense foule noire. J’ai dit : Qu’est-ce que c'est ? Ma communauté ? - C’est Moïse et sa communauté, m’a-t-on dit. - Regarde l’horizon, m’a-t-on ordonné. Je me suis aperçu d’une foule noire qui rempli l’horizon. Puis on m’a dit de regarder ça et là dans le ciel. On voyait partout une foule noire à l’horizon. Voilà, m’a-t-on dit, ta communauté: il y a parmi eux soixante dix mille qui iront au paradis sans examen des comptes de leurs actions » ... (Bukhari, 5270)

D'après Abou Hourayra, le prophète a dit : "Quand l'Heure Suprême sera imminente, la science disparaîtra, les tentations apparaîtront, l'avarice s'accentuera, et Al-Haraj se multipliera". - "Ô Envoyé de Dieu, qu'est-ce que Al-Haraj ?" - "C'est le meurtre", répondit-il. (Bukhari, Volume 9, Book 88, Number 185)

Selon Abou Hourayra, le prophète a dit : « Par Celui qui détient mon âme dans Sa Main, ce monde ne prendra pas fin tant que l'homme, passant devant une tombe, ne se jettera pas sur celle-ci en disant : « Malheur à moi ! Si seulement je pouvais être à la place de l'occupant de cette tombe ! » Il n'aura pourtant aucune religion, seule l'épreuve le poussera à dire cela. » (Bukhari et Muslim)

Selon Abou Hourayra, le prophète a dit : « La Dernière Heure n’arrivera pas, avant qu’un homme des Qahtan ne surgisse et ne dirige les gens avec son bâton. » (Bukhari, Volume 9, Book 88, Number 233)

Selon Abou Hourayra, le prophète a dit : « La Dernière Heure ne viendra pas jusqu'à ce qu'apparaisse depuis la terre de Hejaz (Arabie Saoudite) un feu qui illuminera les dos des chameaux à Busra » (Bukhari, Volume 9, Book 88, Number 234)


Les livres de hadiths sont remplis de ce genre de hadiths parlant d'évènements futurs, ceux-ci ne sont que quelques exemples.



12. Un nouveau critère pour entrer au Paradis ?

Ce qu'affirme le Coran :

Tout au long du Coran, il nous est répété que croire en Dieu et œuvrer en bien sont les exigences pour entrer au Paradis. On nous dit aussi que chaque âme recevra un jugement équitable selon ces deux exigences et rien d'autre :

Et annonce à ceux qui ont cru et fait de bonnes actions qu'il y a pour eux des jardins sous lesquels coulent des rivières. Chaque fois qu'un fruit leur sera accordé là comme subsistance, ils diront : "Voici ce qui nous était accordé auparavant". Et on leur donne là quelque chose de semblable. Ils y ont des conjoint(e)s purifié(e)s, et ils y demeurent éternellement.
Coran, 2:25

Ceux qui ont cru et fait de bonnes actions, ceux-là sont les compagnons du Paradis, où ils demeurent éternellement.
Coran, 2:82

Quant à ceux qui ont cru et fait de bonnes actions, Nous les ferons entrer dans des jardins sous lesquels coulent des rivières, où ils demeurent éternellement, à jamais. Ils y ont des conjoint(e)s purifié(e)s. Nous les introduirons sous un ombrage épais.
Coran, 4:57

Hadiths attribués au Prophète :

Dans un hadith des plus étranges, le prophète aurait dit qu'une certaine personne entrera au Paradis pour une raison des plus bizarres :

D'après Abou Hourayra, le Prophète a dit : « Un homme qui marchait a été pris d'une très forte soif. Alors il est descendu dans un puits dans lequel il a but. Puis lorsqu'il en est sortit il a vu un chien qui tirait la langue et mangeait de la terre tellement il avait soif. L'homme a dit: Il a atteint un niveau de soif comme le mien. Alors il a remplit sa chaussure d'eau et l'a attrapée avec sa bouche puis est remonté et a donné à boire au chien. Dieu l'a remercié pour cela en lui accordant le Paradis". (Bukhari, Volume 1, Livre 4, Numéro 17)

Non seulement ce hadith viole les exigences coraniques nécessaires pour entrer au Paradis, et les remplace par l'acte de donner de l'eau à un chien, mais il viole également l'affirmation coranique que le prophète Mohammed ne connaissait pas l'avenir.



13. La méthode pour les ablutions

Ce qu'affirme le Coran :

La méthode pour les ablutions, à accomplir avant la prière, est donnée dans le Coran, et consiste en quatre étapes simples :

Ô vous qui avez cru, lorsque vous vous levez pour la Salât, lavez vos visages et vos mains jusqu'aux coudes, et essuyez vos têtes et vos pieds jusqu'aux chevilles. ...
Coran, 5:6

Hadiths attribués au Prophète :

Malgré cet ordre simple et clair de Dieu, nous lisons dans des hadiths que le Prophète aurait effectué ses ablutions d'une manière différente, en ajoutant d'autres étapes ne figurant pas dans l'ablution coranique. Nous devons nous rappeler ici que les ablutions pour la Salât fait partie de nos rituels religieux. Ceci est différent d'un lavage ou d'un bain à d'autres moments. Dieu nous a donné quatre étapes simples afin de tester notre obéissance : allons-nous suivre l'ordre simple de Dieu, ou allons-nous être trompé par Satan en modifiant l'ordre de Dieu sous la fausse impression que nous faisons du bien en lavant d'autres parties de notre corps pour être plus propre ?!

A ce sujet, veuillez consulter la page suivante qui détaille le but des ablutions : A quoi servent les ablutions ?

Dieu ordonna à Mohammed et à tous les croyants de suivre le Coran et rien d'autre, donc il va sans dire que le prophète de Dieu n'a jamais pu modifier les commandements de Dieu.

Et pourtant, dans un certain nombre de hadiths, nous lisons le contraire. Nous lisons que Mohammed aurait inventé une méthode différente pour les ablutions. Est-ce que Mohammed aurait ignoré les commandements de Dieu, ou est-ce que ces hadiths sont des mensonges attribués au Prophète ?

D'après 'Amr Ibn Yahya Al Mazani, d'après son père, un homme a dit à Abdallah Ibn Zayd : Peux-tu nous montrer comment le Prophète faisait ses ablutions ? Abdallah Ibn Zayd a dit : Oui. Alors il a demandé qu'on lui apporte de l'eau, il a versé sur ses deux mains qu'il a lavé 2 fois, puis il a lavé sa bouche et mis de l'eau dans son nez 3 fois, puis il a lavé son visage 3 fois, puis il lavé ses deux mains jusqu'aux coudes 2 fois chacune, puis il a frotté sa tête avec ses deux mains en commençant par l'avant de sa tête en allant jusqu'à la nuque puis en revenant jusqu'à l'endroit où il a commencé puis il a lavé ses deux pieds. (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°185 et Mouslim dans son Sahih n°235)

Nous trouvons également un hadith bizarre sur la nécessité de nettoyer ses parties intimes avec des pierres, et que cela doit être fait avec un nombre impair de pierres !

Le messager de Dieu a dit : Quand quelqu’un s’essuie avec des pierres, il doit en utiliser un nombre impair, et quand quelqu’un fait ses ablutions, il doit nettoyer son nez avec de l’eau. (récit d’Abu Hurayra, Muslim II 458)